L’entropie de l’Univers ne croît pas

L’entropie d’un système isolé DANS un autre système croît, soit.

Mais le couple observateur – système isolé a une entropie stable ou plus stable. En effet la décroissance d’entropie mesurée par l’observateur correspond à un flux d’information sortante du système qui entre dans le système d’observation. Or un flux entrant a la propriété de diminuer l’entropie.

La perte et le gain s’équilibrent, au moins localement.

Observateur et système isolé étant inclus dans l’Univers, le désordre du système global Observateur – Système isolé croît quand même, mais bien moins vite que le système isolé seul. La mesure par l’observateur et l’acquisition d’information qui en résulte diminue la croissance du désordre d’autant.

Pour l’Univers, l’observateur étant forcément DANS le système, il n’y a pas d’autre solution, rien ne se perd, tout le flux de gain d’entropie (accroissement du désordre) est récupéré par l’observateur, ce qui n’est pas récupéré, ne pouvant sortir de l’Univers par définition, il ne participe pas à la croissance de l’entropie.

Ainsi l’entropie de l’Univers est stable, ce qui est perdu, est en fait mesuré par l’observateur qui voit sa propre entropie décroître, donc le bilan est nul.

2 réflexions sur « L’entropie de l’Univers ne croît pas »

  1. Vous ignorez les deux sources de variations de l’entropie

    1- l’entropie echangé, du a un échange de matière ou de chaleur (Je suppose que c’est à quoi vou sfaite allusion quand vous parlez vaguement de flux)

    2- l’entropie crée, source de l’irreversibilité d’un phénomène.

    Si vous prenez un couple observateur / observé et que vous postulez que l’un absorbe l’entropie de l’autre cela ne change rien, l’entropie crée ne peut pas disparaitre.
    Si vous prenez le système isolé (observateur + observé), le second principe énonce tout de même l’accroissement de l’entropie de ce système.

    Votre propos ici manque de tout rigueur et un simple raisonnement par l’absurde permet de le démonter. Je vous suggère de vous documenter en thermodynamique avant d’écrire ce genre de bulletin.

    Non seulement ils sont faux, mais il ne trompent que les gens n’ayant que de vagues notions scientifiques, ce qui est plus grave.

    Que cherchez vous à accomplir en étayant votre vision dogmatique du monde par des arguments pseudo-scientifiques?
    Assumez le fait que votre vision du monde est un dogme et n’est par la même pas réfutable ni même discutable. En singeant la science, vous ne faite que propager de la confusion. Est ce là votre vision de la spiritualité? Tromper autrui?

  2. @anonyme (c’est pour ne pas tromper autrui « anonyme » ?)

    Vous devez réfléchir plus avant quand vous dites :

    « Si vous prenez le système isolé (observateur + observé), le second principe énonce tout de même l’accroissement de l’entropie de ce système. »

    Où est l’observateur qui mesure cette nouvelle entropie ? Est-il en dehors du système étudié ? Dans ce cas comment peut-il mesurer quoi que ce soit ?

    C’est en fait l’hypothèse « système isolé » qui est fausse par construction pour toute mesure. L’observateur ne peut pas être isolé du système mesuré. C’est l’erreur fondamentale qui trompe le mécanisme de compréhension de la progressivité de l’indépendance d’un observateur.

    Une fois indépendant d’un système, un observateur ne peut plus rien en observer.

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