Espace conceptuel

Un observateur – système pseudo isolé – a un début, une croissance et une mort (qu’il soit un appareil ou autre chose), dans le sens où il ne peut pas maintenir en l’état ses systèmes de mesure indéfiniment.

De sorte que l’observation est par nature, une vision temporaire des phénomènes, et ne saurait en AUCUNE façon en saisir une nature ultime permanente – intemporelle.

Il n’y a donc pas de point de vue qui ne soit centré sur l’observateur quant à l’observation de la nature.

Les galaxies ne sont pas « redshiftées », il n’y a pas de galaxies, il n’y a qu’un phénomène transitoirement observé qu’on nomme galaxie, mais qui n’a pas d’existence intemporelle, qui ne soit en rapport avec l’observateur qui le conçoit, et un observateur antérieur ou ultérieur, ou comobile placé à l’endroit idoine, ne conçoit pas d’objet « galaxie » dans son référentiel conceptuel descriptif, parce qu’il n’a pas, et n’aura jamais de mesure lui permettant de le concevoir.

Le bon référentiel pour mesurer le monde c’est celui qui a pour centre l’observateur, t=0 à la naissance de l’observateur avec les instruments de mesure correspondants.

A partir de là se développe un espace conceptuel objectal relatif par l’observateur, et une causalité qui est propre à cet espace conceptuel, et à son adéquation avec l’observation.