Je donne quelques nouvelles pistes pour comprendre l’idée de l’observateur luminique.
L’observateur a pour principale caractéristique de pouvoir communiquer l’observation de son expérience. En fait il transforme l’information acquise sous une forme communicable intelligible pour l’observateur qui la reçoit.
Quand on regarde une photo d’un objet prise disons dans les années 70, en numérique, avec une interprétation, puis transmise sur disquette, sur ordinateur avec un système expert qui rajoute une interprétation sur la photo, transmise par internet avec des commentaires et sous nos yeux dans notre écran en 2008…
Nous recevons tout simplement une information transmise par un observateur. Mais où est l’observateur ? Est-ce le photographe initial qui est mort, la disquette, l’ordinateur, internet ? Chacun a transmis à la fois ce qu’il a reçu comme il l’a reçu, et a éventuellement complété avec des interprétations de ce qu’il a vu.
On voit bien qu’on ne peut pas définir un observateur localisé. Par contre on voit bien que le flux d’information de 1970 à 2008, lui, a suivi un trajet, s’est enrichi d’interprétations successives… Exactement comme un observateur « classique » l’aurait fait.
On peut donc considérer que l’observateur c’est l’information elle même, qui se propage sur les supports matériels successifs sur lesquels elle s’enrichit. Ce « flux d’information – observateur » subit des accélérations de vitesses tantôt en vitesse classique tantôt en vitesse lumière et tantôt en vitesse quasi lumière à la vitesse de transformation de l’information près (qui n’a pas de quantité d’énergie infinie limite pour atteindre C aussi près qu’on le veut => Cf le problème des convergences de suites en mathématiques).
Quel chemin emprunte la conscience.
L’horizon ne s’arrête pas, à nos performances sensorielles, Intellectuelles, c’est un chantier énorme, ouvert à tous, il nous attend en dehors de notre regard de ruminant.
Nous ne faisons que synthétiser des périodes temporelles.
Il y a un point de convergence singulier que notre réalité emprunte, les physiciens commencent à le prendre en compte.
C’est celui de notre regard d’observateur, il n’est pas neutre, il induit une ingérence, une mutation de l’information observée, figée dans les gènes du temps. (ADN)
Le regard émet, et reçoit des radiations électromagnétiques (photons) c’est de la transmission de pensée, du voyeurisme universel luminique.
Se sont pour moi, des informations qui ressuscitent autant de fois qu’il y a (observation)
Un transfert d’informations en attente de mutation.
Nous, ne faisons que revisiter un état d’informations qui nous précédent en rajoutant la charge de notre regard mutagènes.