Dans la première partie nous avons rapidement vu qu’à partir d’un repère R, et en prenant des repères R’ de plus en proches de C en vitesse relative, nous en étions arrivés à la conclusion que notre étoile devenait quelque chose de plus en petit au sein du disque galactique, allant de plus en plus vite, et que le disque galactique n’étant pas lui même totalement stable enserrait l’étoile dans un petit volume « qui bouge ». Ce qui est localisé et lent dans R devient non localisé et très rapide dans R’ au sein d’un volume lui même indéterminé mais moins…
Application dans R… Ce qui est visible petit, très petit, très rapide, non localisé, quoi qu’au sein d’un plus grand volume lui même non localisé mais moins, devient au niveau de ce point, pour un observateur local petit pour R, très grand, lent et déterminé. il n’y a aucune raison de ne pas en faire un lien symétrique si l’on veut considérer tous les repères comme étant équivalents.
Et nous avons rapidement vu que dans R’ proche de C, la galaxie devenait de plus en plus petite, jusqu’à ce que la communication se coupe où là elle semble par exemple se transformer en trou noir. A partir de là le R’ considéré la voit comme un trou noir comparable à une transformation de type sphère de riemann, et donc dans R l’observateur R’ doit considérer que seul un photon peut s’échapper… Le photon est moins une notion de nature de l’objet qu’un lien dimensionnel entre deux objets physiques dans deux espace 4D séparés du point de vue de la forme mais semblable du point de vue de leurs composants, au sein de l’espace 5D qui est un espace de formes.
J’approcherai donc désormais un repère de référence en le nommant Rb pour « Repère Barycentrique » R’ sera le repère « petit et rapide » avec son observateur relatif O’, et R » sera le repère « grand et lent » avec O » son observateur relatif. Voir Rb selon R », équivaut alors à voir R’ selon Rb.
Nous allons alors étudier comment se transforme notre objet commun nommé « galaxie » dans Rb par Ob vu selon O’, Ob, et O », que nous considérerons comme étant « à peu près » centrés au même endroit (mais comme on l’a vu « ça bouge » selon le repère considéré !!!). Imaginez pour ce faire que O’ serait une structure atomique très petite avec son laboratoire très petit, O un homme avec son laboratoire, et O » des particules allant à la même vitesse + même direction dans un tube d’espace, selon O, organisées en laboratoire, aussi proche de C que l’on veut (pensez à des neutrinos par exemple, ou ce genre de choses, le passage au photon étant la limite de ce qui sera perçu, ou un simple « saut » quand il n’y a plus rien de « différent » à observer).
Suite au prochain post