L’observateur n’est pas de nature différente de l’objet dont il retire une mesure. Il n’est pas local, il n’est pas non local non plus, c’est un « flux » que l’on peut identifier non pas dans l’espace lui même, mais dans l’espace temps, ainsi selon le temps où on le considère il « bouge », et il change de forme.
Ainsi L’observateur c’est l’appareil qui mesure les échanges de chaleur au moment, ou pendant le moment très court dt, où l’appareil fait cette mesure.
C’est aussi (forme non locale) l’appareil qui mesure la température, au moment, pendant la courte période dt, où cet appareil mesure la température.
C’est ensuite l’appareil qui fait le calcul entropique, au moment (et uniquement pendant le moment dt) où cet appareil reçoit ces mesures, et les calcule.
C’est ensuite le photon au moment où celui ci prend sa fréquence A+h, et est envoyé à l’extérieur de la boîte.
Avant même que les deux premières mesures (chaleur et température) se font, il n’est pas non existant, il est potentiellement là, mais n’existe vraiment qu’au moment où la première mesure se fait.
Ensuite si l’on considère le photon, ou la particule d’énergie minimale qui puisse sortir de la boîte avec l’information « A+h », on ne peut distinguer : la particule, l’observateur, et l’information, parce que mesurer l’un des trois change la nature des deux autres.
Ce qui fait, qu’étant donné l’énergie minimale porté par cette particule ultime « observateur – information – énergie », qui n’existe que par le fait même que O2 veuille mesurer l’information procurée par O1, l’écart d’information lié à l’entropie mesurée par O2 : « A » et celle mesurée par O1 : A+h, ne représente pas autre chose que ce qui est extrait de la boîte par cette même particule, et qui se trouve être à la fois « 01 – Energie et Information » de façon indiscernable.