La physique n’est pas – que – la recherche « d’invariants », qui est un point de vue tendanciel relatif.
Dans les domaines de la mécanique quantique, classique, restreinte et générale, il y a de façon évidente des « variants ». Ainsi l’espace classique et l’espace RR sont des variants, l’objet de base de la méca Q « l’ondicule » et celui de la méca classique, « l’objet 3D » sont des variants… La causalité de chacun de ces ensembles est différente parce que portant sur des objets « variants » dans des espaces « variants ».
Donc on peut dire aussi à l’inverse, que la physique est la recherche des concepts « variants » pertinents en fonction du facteur d’échelle spatio temporel choisi, qui permette de coller au mieux à la description des phénomènes observés.
C’est pourquoi il convient de faire deux choses complémentaires :
1) Chercher les « invariants » qui peuvent exister selon l’ensemble des cadres conceptuels de description des phénomènes (choisis par l’observateur selon le domaine étudié, et le facteur d’échelle considéré).
2) Chercher les « variants » qui peuvent donner la meilleure précision descriptive étant donné les « invariants » établis.
Les deux ne sont pas antinomiques mais complémentaires. Les « invariants » restent relatifs, mais fournissent le cadre dans lequel on définit des descriptions conceptuelles « variants ». Le développement de cadres conceptuels « variants » permet d’affiner la description des phénomènes, et de chercher alors de nouveaux « invariants » qui pourraient « englober » cette innovation.
Ainsi en coordonnées comobiles on a des vitesses supérieures à C, et on a accès pour un facteur d’échelle défini à des espaces 4D locaux complets (ex : galaxies contenant un ou plusieurs trous noirs).
Ce qui donne pour la description un cadre conceptuel à 5 dimensions non symétriques, ou encore 10 directions.