Faux Cônes de Lumière

La théorie des cônes de lumières est fausse quand elle affirme : « Les événements intérieurs du cône peuvent être liés causalement avec e0 , par contre les évènements situés dans l’ailleurs de e0 sont dits causalement déconnectés de e0 et ne peuvent l’influencer ou en être influencé. »

Si l’on considère e0 non pas comme un point mais comme la continuité d’un flux dans l’espace temps (ce qui est le cas d’un observateur par exemple, ou de tout « objet » classique).

En effet il suffit de regarder et de comprendre ce schéma simple :

Selon la théorie, les points rouges étant situés hors du cône de e0 (t0), ne sont pas causalement liés à e0.

Hors c’est faux ! En effet dans le passé e0 était causalement lié à un cône plus grand, dont les éléments ont pu, suivant leur propre cône de lumière futur, se lier causalement aux élements extérieurs au cône de e0.

Et donc ils ne sauraient être totalement déconnectés ! Ils sont de fait totalement corrélés !

Exemple expérimental qui démontre autrement la chose (pour démontrer qu’une assertion est fausse il suffit de trouver au moins 1 contre exemple qui l’invalide) :

Soit donc à t0, O1 et O2 séparés de plus de C (vitesse de la lumière) x1 minute.

Selon la théorie au bout de 30 secondes O1 et O2 sont forcément causalement déconnectés. C’est faux !

Parce qu’à t0 – 10 jours, en fait O2 est en fait dans le cône de O1, et peut donc influer sur la causalité en t0, selon une modalité prédéfinie, tout en étant à t0 hors du cône de lumière de O1.

S’il s’agit d’un simple choc mécanique d’objets, le choc reçu par O1 en t0, correspond à la valeur calculée de ce choc par O2 en ce même temps t0, les deux événements étant donc causalement totalement connectés.

Je vous laisse ensuite réfléchir au fait que lors du big bang, l’ensemble des éléments faisait partie d’un même cône.

Graphique 2 : Ce qui est corrélé pour O1 est-il causal pour O2 ?

Serais-je « Bohmiste » ?

Je viens de découvrir avec stupéfaction que je suis probablement un « Bohmiste », du nom de David Bohm scientifique ayant participé notamment au projet Manathan, et ayant développé une théorie physique à variables cachées non locales.

Ce qui est plus extraordinaire encore c’est que je découvre que David Bohm a eu des entretiens philosophiques avec Krishnamurti. Or Krishnamurti, propose une philosophie consciente très proche de celle décrite par Siddartha Shakyamouni.

Tout ceci alors que je révisais le célébrissime problème du Chat de Shrödinger. Toutes les interprétations connues ne m’ont jamais convaincues, même celles de d’Espagnat et Beauregard, qui étaient les plus acceptables toutefois pour moi (rôle de la conscience). Mais définitivement la « refonte totale » de Bohm est convaincante !

Je cite Siddartha dans le sutra du coeur :

« En conséquence, Sharipoutra, dans la vacuité il n’y a ni forme, ni sensation, ni identification, ni facteurs composés, ni conscience ; ni œil, ni oreille, ni nez, ni langue, ni corps, ni mental ; ni forme, ni son, ni odeur, ni saveur, ni objet du toucher, ni phénomène mental. »

Unification Ultime

L’observateur n’est pas de nature différente de l’objet dont il retire une mesure. Il n’est pas local, il n’est pas non local non plus, c’est un « flux » que l’on peut identifier non pas dans l’espace lui même, mais dans l’espace temps, ainsi selon le temps où on le considère il « bouge », et il change de forme.

Ainsi L’observateur c’est l’appareil qui mesure les échanges de chaleur au moment, ou pendant le moment très court dt, où l’appareil fait cette mesure.

C’est aussi (forme non locale) l’appareil qui mesure la température, au moment, pendant la courte période dt, où cet appareil mesure la température.

C’est ensuite l’appareil qui fait le calcul entropique, au moment (et uniquement pendant le moment dt) où cet appareil reçoit ces mesures, et les calcule.

C’est ensuite le photon au moment où celui ci prend sa fréquence A+h, et est envoyé à l’extérieur de la boîte.

Avant même que les deux premières mesures (chaleur et température) se font, il n’est pas non existant, il est potentiellement là, mais n’existe vraiment qu’au moment où la première mesure se fait.

Ensuite si l’on considère le photon, ou la particule d’énergie minimale qui puisse sortir de la boîte avec l’information « A+h », on ne peut distinguer : la particule, l’observateur, et l’information, parce que mesurer l’un des trois change la nature des deux autres.

Ce qui fait, qu’étant donné l’énergie minimale porté par cette particule ultime « observateur – information – énergie », qui n’existe que par le fait même que O2 veuille mesurer l’information procurée par O1, l’écart d’information lié à l’entropie mesurée par O2 : « A » et celle mesurée par O1 : A+h, ne représente pas autre chose que ce qui est extrait de la boîte par cette même particule, et qui se trouve être à la fois « 01 – Energie et Information » de façon indiscernable.