Tout voir, tout comprendre

Je vais rajouter une remarque qui aidera peut-être à éclairer un peu mieux ce dont il s’agit.

M’est avis que le problème c’est quand on « sait » qu’on est dans un espace à 4 dimensions mais qu’on continue à l’observer en 3.

Quand vous avez un espace en 2, c’est facile vous le voyez très simplement, la feuille de papier, plate ou courbée.

Déjà si on vous rajoute le temps, c’est plus difficile. Comment les observateurs « plats » de la feuille de papier passent-ils « d’une feuille à l’autre » ? Si ce n’est en plongeant dans la mystérieuse « Troisième dimension » ?

Oui mais si on est « dedans » on ne peut pas « voir » pourrait on rétorquer.

Certes alors il faut passer « dehors ». Comment on fait ?

Nous ne sommes pas dans le présent. Nous sommes à l’origine de l’observation d’un objet 4D, dont nous pouvons observer l’évolution sous quantité d’angles différents, autour dans l’espace, temporellement déplacé dans des référentiels en mouvement…

Jusqu’à en faire le tour complet à t4 au moment initialement prévu pour la fin de l’observation.

De t0 à t4 nous aurons tout vu, tout parcouru, tout analysé, tout observé… Depuis la 5ème dimension.

Vaincre les cônes de lumière

Pourquoi « vaincre les cônes de Lumières » ? Si O3 et O4 sont « corrélés », sont d’accord à t0. O3 pourra transmettre à O4 des informations relatives à son espace à disons t1, que O4 pourra analyser en t4, sur des informations totalement inacessibles en t1, en ayant donc une connaissance « supraluminique » sur ce qui se passe en t1.

QUANTIQUE 5D O4


Comment « voir » une expérience Quantique en 5D ? Eh bien tout dépend de l’observateur ! Ici, O1 a une information partielle, O2 une information totale, O3 est hors de l’expérience 4D et s’est placé en 5D, et O4 s’est placé lui aussi en 5D, mais loin d’être passif, « bouge » par rapport au volume 4D de l’expérience, et aura donc une causalité différente de celle de O3.

De fait quand O3 et O4 auront analysé leurs mesures communes, s’ils veulent être d’accord et travailler ensemble, alors ils devront revoir tous les deux leurs copies, pour se trouver un « plan de causalité commun » qui leur permette d’avoir un « écart minimal » selon leurs théories causales causales respectives afin d’en avoir une qui convienne aux deux.

Ou encore trouver le processus de transformation qui permette de trouver la causalité relative de O3, sachant O4 ainsi que son chemin 5D parcouru.

Le processus de transformation des Lois causales est donc fonction d’une causalité propre, et des chemins relatifs parcourus, en rapport avec l’obsrvateur et l’objet d’analyse observé.