Observateur mon ami !

En tant qu’observateur, je suis délimité dans l’espace, j’ai un bord (ma peau), et je suis délimité dans le temps, je suis né et je vais mourir. En géométrie, un ensemble de point de l’espace délimité s’appelle un volume, pas un espace. De même si on veut appréhender l’observateur comme objet quadri-dimensionnel, alors c’est un 4-volume plongé dans le 4-espace, pas un 4-espace.

Pour appréhender cette question et donc sa réponse, il faut comprendre ce qu’est la relation entre deux observateurs.

S’il s’agissait de deux 4 volumes plongés dans un 4-Espace alors la causalité serait absolue, et l’observation un leure total puisque tout serait déterminé.

La causalité relative, et le postulat de l’existence d’une réelle observation nécessaire à toute science, implique forcément que ces 4-Espaces évoluent librement dans une 5ème dimension afin de pouvoir justement choisir leur « angle » d’observation.

C’est ce que je disais plus haut ou dans un autre post, la cinquième dimension n’est pas une dimension absolue, c’est une dimension relative à l’observateur.

Ce qui signifie que l’observateur qui choisirait de « ne rien faire », serait alors dans une position de 4-Volume. Un observateur actif est dans une position de 4-Espace. C’est donc l’observateur qui « crée » la cinquième dimension, en fonction du point de vue qu’il choisit de prendre.

Un observateur 4-Dimensionnel ?


Seuls des espaces 4D Séparés permettent de rendre compte théoriquement :

– De la non simultanéïté
– De la causalité relative
– De la notion d’information

Une information n’a de sens qu’en fonction d’une causalité connue. La causalité étant relative, elle n’a de sens que dans un espace relatif à l’observateur comprenant sa causalité propre, donc ses causes initiales, son développement, et son présent.

Si on comprend en quoi le schéma du post précédent proposé permet de prendre en compte tout ceci, on comprend que pour O1 la méca Q s’applique sans aucune ambiguïté, alors que pour O2 c’est le déterminisme qui s’applique, et cela sans contradiction.

Par contre si on comprend la notion d’information, une information envoyée de O2 vers O1, n’arrivera pas dans le même temps relativement à O3, et donc sur une coupe 5D de l’expérience telle que vue par O3, en un temps disons t2.

Qu’est-ce que cela signifie relativement à O3 ?

Cela signifie que pour O1 la méca Q s’applique de t0 à t1, et qu’en t2, il doit revoir sa copie en déterminisme.

Donc, les théories actuelles ne sont que des dérivées partielles d’une théorie plus vaste, en 5D, RELATIVEMENT à un observateur que l’on pourrait nommer « communauté scientifique », par exemple.

Ceci étant dit, si on sait faire des intégrales, on peut donc trouver quelque chose d’intéressant.

Le Chat de Shrödinger en 5D

Si on veut observer l’expérience du chat de Shrödinger, il est nécessaire de se placer en 5 dimensions pour comprendre ce qui se passe.

Selon la théorie quantique O1 ne sait pas ce qui se passe, et la « réalité » serait donnée par l’équation de Shrödinger quant à la vie ou la mort du chat.

Selon O2 c’est simple il voit directement si le chat est mort ou vivant… Avec un décalage temporel évidemment.

Quant à notre ami Einstein qui observe tout cela… Que doit-il en déduire quant à la réalité physique du chat, de O1, de O2… Et de lui même ? Soit-il se considérer comme une entité continue ou discrete ? Quant est-il du rapport entre le Einstein »T0″ et le Einstein t3 ? Si l’observateur n’est pas la même chose entre t0 et t3 Qui ou Quoi observe quoi exactement ?