J’ai trouvé la matière Noire :)

Voici :

La réaction Thermonucléaire s’écrit normalement :

P1+P2 => P3 + Rayonnement

Avec P3 plus léger que P1+P2, Mp3 < (Mp1 | Pp2) J’ai donc pensé qu’on pouvait l’écrire différemment : M => M – delta M + Rayonnement

(Avec M masse totale en jeu dans la réaction).

De sorte que pour une galaxie isolée, ou un amas de galaxies isolées (assez loin du reste de l’Univers) :

M => M – delta M + rayonnement

Donc la Masse totale diminue dans le temps !

+> Conséquence, le Champ gravitationnel fluctue dans le temps, à la baisse quand les galaxies s’éloignent les unes des autres localement, à la hausse quand c’est l’inverse.

Que donc le Champ gravitationnel Universel n’est pas une somme de Champs fixes, mais de Champs fluctuant, et donc de type fractal (des Champs de tous niveaux de Force venant de tout l’Univers, du plus petit, au plus gigantesque, traversent l’espace local).

J’en ai déduis que : Les galaxies sont réparties dans l’Univers de façon fractale, elles s’éloignent et/ou se rapprochent en surfant sur le flux gravitionnel qui fluctue dans le temps.

Qu’un effondrement en Trou Noir dû à l’éloignement des autres Galaxies, fait que ce Trou Noir isolé, va tôt ou tard capter un « flux de galaxies » plus lointain que l’ancien amas local, et qui a une vitesse qui passe sur le trou noir, qui se fait alors capter par cette masse, en la « freinant »…

Etc … Etc…

J’en ai déduis aussi qu’il n’y a pas de Big Bang, et qu’il n’y aura pas de Big Crunch, parce qu’un trou noir totalement isolé en première approximation fait qu’au bout d’un certain temps :

M => M – delta M + rayonnement, et que donc il s’évapore jusqu’à atteindre une masse critique où il ne s’évapore plus, et alors un flux de galaxies lointain repassera dans le coin un jour pour capter cet astre solitaire.

J’ai déduis beaucoup beaucoup d’autres choses.

Je prédis : On peut vérifier la variation des Flux gravitationnels lointains, en mesurant les fluctuations verticales des orbites planétaires, soumises au Champ du soleil + Champ galactique local qu’on peut considérer comme fixes, + La somme de tous les autres Champs.

On devrait peut-être même pouvoir voir venir un Champ éloigné Surpuissant, ou s’éloigner, venant d’un Méga – Méga Amas même pas imaginable, et qui viendrait vers nous.

Je prédis : On trouvera des Creux gravitionnels, et des Bosses, dans le vide, de sorte que les galaxies seront « happées » ou « repoussées » par ces creux et ces bosses, alors même qu’on ne les voit pas.

Je prédis aussi, qu’on démontrera sans doute qu’Einstein et Newton ne sont pas incompatibles. Si on prend Newton avec la décroissance des masses (celle du soleil + celle de la Voie Lactée), et qu’on somme les Champs Newtionniens obtenus, on obtient la RG d’Einstein.

Il y a je pense des conséquence aussi au niveau Méca Q. Si ce sont les Champs gravitationnels qui sont à l’oeuvre dans les fluctuations quantiques locales.

La Science va-t-elle réfuter l’athéïsme ?


C’est le titre de cet article du Figaro où Hean Staune tient la dragée haute à André Compte Sponville. A coup de « mon livre est meilleur que le tien » (« De telle sorte, mon cher Jean, qu’au siècle prochain, votre livre sera parfaitement dépassé, alors que le mien restera d’une actualité pérenne ») le phisophe Sponville tente de mettre un terme au débat, et soutient une position « Les grandes philosophies ne seront jamais réfutées par la science », qui est très sujette à caution, Staune répliquant par l’argument convaincant de la réfutation des éléments de foi (La terre a bien plus de 6000 ans). On a du mal à croire que les éléments étant réfutés, le tout ne le soit pas…

De plus, sur l’argument de la pérennité, je ne suis pas sûr que le livre de Sponville tienne la distance comparé à la Bible, au Boddhisattvacharyavattara, ou encore au Coran. De sorte que sa position Athéiste n’est pas renforcée par cet argument dont pourtant il se sert pour justifier la solidité de la philosophie.

Je pense pour ma part exactement comme Siddharta Gautama le Bouddha, dans le Brahmajala Sutra sur les 62 vues fausses « Ces opinions que l’on saisit et auxquelles on adhère mèneront vers telles ou telles existences ». De sorte que ni vraies ni fausses, les opinions auxquelles on adhère sont simplement les repères transitoires auxquels on se réfère, et qui nous mènent vers tel ou tel chemin.

La Science prônant la réfutabilité de ses propres repères est donc dans le vrai, parce qu’elle comprend sa propre fin, exactement comme le Dharma. Sponville lui semble être dans le faux en croyant à des irréfutabilités philosophiques. La position de la vérité est celle de la ville assiégée. Mais trois ans suffirent pour prendre Troie. Un peu de patience et toute vérité tombe comme un château de sable, pour laisser place à une autre.

L’espace des mesures

Suite à l’article sur l’expérience « Before Before » d’Antoine Suarez, qui pose essentiellement le problème non pas du temps mais plutôt de la causalité (ce qui est sensiblement différent, le temps étant supposé continu, la causalité pouvant être soit continue soit discrète), il faut faire à mon avis un saut conceptuel pour retomber sur nos pattes, en prenant l’expérience comme acquise, et donc la causalité elle même comme relative (et donc non plus le temps seul).

Je propose donc qu’on puisse étudier la réalité non plus sous le seul angle de la « réalité en soi » qui correspond sur ce schéma ci contre à l’axe du temps classique, mais selon l’axe de la mesure individuelle, qui en dernière analyse est la seule accessible, toutes les autres en découlant (mesures déductives etc…)

Il faut alors comprendre que si on analyse l’expérience selon cette vision, on a deux référentiels en cours, sensiblement différent de ceux de la Relativité Générale.

Ce n’est plus un référentiel en mouvement l’un par rapport à l’autre uniquement, ce sont deux référentiels de l’espace de mesure S1, et celui de l’espace de mesure S2 (qui n’apparaît pas sur le schéma). Ces référentiels sont mouvant au sein d’un axe temporel imaginaire.

On comprend bien que S2 peut être sur le même plan temporel réel que S1, ou bien à un entre plan (avant ou après) mais que aussi son AXE de mesure peut être parallère, croisé, non croisé, etc… Laissant apparaître une multitude de possibilités, et pouvant donner des explications quant à certains phénomènes très connus comme la synchronicité.

La conclusion à faire nécessairement de l’expérience de Suarez (prédite par la méca Q, et donc la conclusion à faire pour dépasser la méca Q, ou la compléter), est de trouver quel genre de transormation mathématique, permettrait de passer d’un référentiel de mesure S1, à un référentiel de mesure S2, en gardant une invariance des Lois Physiques.

Il faut abandonner la notion de temps réel. La causalité s’écoule sensiblement différemment d’un espace de mesure à un autre.